Sunday, December 17, 2006

Et Puis . . .

Tout d’un coup, Pépé a quitté la maison. Il avait besoin de plein air pour réfléchir. Il transpirait beaucoup. Bien qu’il soit policier, il ne pouvait pas téléphoner au bureau. Pépé pensait rapidement. Grâce à son travail, il connaissait des gens criminels. Peut-être, avec leur aide . . . non ! Pépé ne voulait pas être chassé toute sa vie ; en effet, Pépé et sa femme avaient acheté une maison l’année précédente et elle était toute nouvelle, toute belle. Il voulait rester là longtemps. Mais c’est difficile à apprécier une maison quand on est emprisonné ! Pépé continuait à réfléchir. Malgré la difficulté, ils pouvaient attacher les pierres aux morceaux et puis les jeter dans un fleuve ! Au cas où quelqu’un les verrait, il expliquerait qu’il était policier et qu’il faisait des experiences forensiques. Mais le tailleur ! S’il n’avait pas vu l’accident, tout serait parfait. Après avoir bien réfléchit, Pépé rentrait à la maison. Marie lui a demandé d’entrer le salon. Là, il voyait le mannequin en plein forme au milieu de la salle ! Marie a déclaré qu’elle avait déjà payé et c’était pourquoi elle avait décidé d’utiliser le mannequin comme statue. Elle a affirmé qu’elle pouvait l’habiller comme Père Noël.

Fatigué, Pépé a tombé sur une chaise et il a demandé à sa femme de lui porter un boisson.